PUBLIC MARKS from decembre with tags bibliotheque & edition

Entre Ibis Reader, le futur Kindle for the Web et bien d’autres services à venir, l’application de lecture semble s’affranchir de la plateforme pour revenir vers le web. Craig Mod a lancé il y a quelques jours un template qui plaira aux bidouilleurs. Bibliotype, un template HTML et Javascript avec un CSS adapté à la lecture sur tablette. Le designer a ajouté plusieurs fonctions pour modifier la mise en page du texte, que cela soit la taille de la police, ainsi que la couleur de l’arrière-plan. Les choix sont limités mais bien pensé : Bed, Knee et Breakfast. Trois moment typique de lecture avec leurs contraintes particulières (fond noir et police blanche pour la lecture du soir…). Bibliotype est une bonne base de travail que Craig Mod invite à venir modifier.Distribué sous une licence MIT (il est possible d’utiliser ce code à peu près n’importe comment, pour une utilisation commerciale ou non, du moment que le nom de concepteur reste mentionné) .....

Le titre de ce billet peut paraître provocateur. Il l’est certainement en partie, mais il correspond à une réalité dont on parle peu, une réalité qui émerge encore à peine, mais dont les conséquences paraissent immenses, du point de vue du droit d’auteur, de l’économie de l’ensemble de la chaîne du livre, et des problèmes de conservation et du partage du savoir à l’ère du support numérique.Pire encore, le fondateur des éditions O’Reilly, le très respecté Tim O’Reilly, inventeur de la célèbre formule « Web 2.0 », affirme depuis quatre ans que la piraterie, en ce qui concerne ses livres, n’est pas un problème, et parfois même représente un vecteur de vente de livres physiques (voir le lien suivant, un article qui a fait sensation au moment de sa parution

Répertoire de blogs consacré aux bibliothèques, aux sciences de l'information et de la documentation et aux technologies associées. Vous pouvez déplacer les blocs afin d'obtenir l'agencement que vous préférez. La génèse de ce site est consultable sur La Conjuration.net/notes

Analyse inquiétante et malheureusement teintée de lucidité d’Olivier Ertzscheid sur Google books : "Google libraire. Google bibliothécaire. Amazon éditeur.l’avenir de la prescription documentairequi n’est rien moins - sans lyrisme déplacé - que le simple avenir de la transmission des savoirs et de la culture à l’échelle de la planète

Méfiez-vous des contrefaçons ! Philippe Aigrain nous invite à la vigilance et à la réflexion concernant la contribution créative.

Amazon revisite 1984 et brûle les livres qu’il vous a vendus, annotations incluses. Ce n’est d’ailleurs que le début de ce qui s’annonce avec l’internet "dans les nuages", ce cloud computing dans le cadre duquel les individus déposent leurs données à distance, via des applications qu’ils utilisent en ligne, et non en local.

Il aurait des projets internes en ce qui concerne les liseuses et les ebooks. Ce serait dommage de laisser de la place à la concurrence. De plus en plus, internet ressemble à un Minitel, contrôlé par un acteur central.

Apple refuse le Kama Sutra dans l’Appstore et confirme sa volonté de faire régner sa loi pudibonde en abusant de sa position incontournable dans la diffusion de livres sur Iphone.

Apple censure un dictionnaire et, ce faisant, devient un méta-éditeur, détenteur d’un pouvoir absolu sur l’ensemble des contenus livresques diffusables sur l’Iphone, un smartphone vendu à plusieurs millions d’exemplaires.

L’enjeu le plus important, aujourd’hui, est de permettre l’épanouissement d’un grand nombre d’entrepôts de livres électroniques et d’un grand nombre de libraires électroniques (cf :"Gutenberg, ce criminel " et dans "Et si Itunes avalait tous vos livres?" . L’enjeu est économique. Il est culturel. Il est politique. C’est un enjeu de société qui ne doit pas être réduit à une question technologique. Souhaitons-nous confier le contrôle de la diffusion des livres électroniques à 5 ou 10 acteurs majeurs dans le monde (au hasard : Apple, Amazon, Google) ou souhaitons-nous permettre la naissance de multiples canaux d’émission de livres et de multiples canaux de distributions de livres? .

L’édition n’a pas attendu Internet pour passer au numérique. Cependant, la fameuse “convergence numérique”, qui a fait les beaux jours de la bulle Internet dont Vivendi Universal fut l’incarnation française, continue à être dans les esprits.Quels types de bonnes pratiques faut-il mettre en œuvre? Existe-t-il un équivalent d’Opquast pour l’édition électronique? Quels environnements technologiques pour quels standards ouverts et libres ?

Lisons ce jour (en fait c'était le 16) l'animateur de Logeek, créateur du générateur : "16/11/2007 : Je viens d'être contacté par les éditions Casterman, presque un mois jour pour jour après la création du site. La galerie présentant des couvertures en totale contradiction avers l'univers de Martine, l'éditeur souhaite qu'il soit fermé afin de ne pas risquer de semer le doute dans l'esprit de son jeune lectorat. Le site sera donc fermé dans les prochaines heures." Si vous souhaitez en griller une dernière, foncez vite sur le Martine Cover Generator, donc ! EDIT : trop tard... Nonobstant, ni Martine est très pop (c'est ici), ni Pop Hits, le hit parade chanté, galerie des glaces du gratin de la musique française des années 1970 (camp de base d'ici), ni Du bruit qui pense®, blog de réflexion sur le devenir de la musique en général et de Wham! en particulier, n'ont pas été contactés, ni par Casterman, ni par Jeune et jolie

Blogosphère remplie de livres électroniques, de réseaux sociaux construits autour des livres et des bibliothèques que nous fréquentons.

Le pari du livre libre,Framasoft est fier de vous annoncer la sortie d’un ouvrage un peu particulier puisqu’il s’agit en fait d’un véritable pari, celui de réussir ensemble à créer une collection de livres sous licences libres.Tourner le dos a