2009
En plein procès Clearstream, David Dufresne interroge le journalisme d'investigation : LesInrocks.com
by 1 other (via)David Dufresne prépare en ce moment un webdocumentaire sur l’industrie des prisons en Amérique, Prison Valley avec le photographe Philippe Brault, produit par Upian.
Du neuf et du frais dans le Web-documentaire :
Pourtant, le Web-reportage n’a pas encore de forme arrêtée. Presque chaque nouveau sujet est l’occasion d’une présentation différente. “C’est un genre qui reste encore largement à exploiter”, fait remarquer Philippe Couve dans ‘Le Monde’. Il pointe ainsi de grandes différences entre des diaporamas sonores pouvant être assez linéaires dans la narration et certains documentaires imaginés comme des sites à part entière (comme Ciudad Juarez, réalisé par la société de production Upian). Alexandre Brachet, responsable d’Upian, dresse d’ailleurs le même constat. “Le temps n’est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux” explique-t-il. “Les internautes demandent à être surpris”, affirme-t-il.
Le Web-documentaire s'invite à "Visa pour l'image" - LeMonde.fr
Alexandre Brachet, responsable d'Upian, dresse d'ailleurs le même constat. "Le temps n'est pas encore venu de dupliquer les formats, mais plutôt de continuer à en créer de nouveaux" explique-t-il. "Les internautes demandent à être surpris", affirme-t-il.
La stratégie web d'Arte sur 20minutes.fr
by 1 otherFort du succès du web-documentaire «Gaza/Sderot», la chaîne ambitionne de produire 6 à 10 nouveaux web-documentaires chaque année à compter de l’an prochain. Les deux premiers proposés sur arte.tv seront «Prison Valley», un reportage au cœur d’un pénitencier du Colorado, et «Cuba/Miami», qui suivra la vie d’habitants des deux villes en parallèle, sur le même modèle que «Gaza/Sderot».
Le webdocumentaire à la une « HemispheriqueS
(via)A l’occasion du festival Sunny Side of the doc, le quotidien gratuit 20 mn a consacré un article à ce nouveau genre journalistique. L’occasion pour Alexandre Brachet d’Upian de revenir sur son engagement de producteur et sur une démarche qui l’a conduit de la Cité des mortes à sa dernière production – actuellement en chantier – Canon City.
#3 Les cordes vocales de l’Upian - Webdocu.com
Troisième volet de notre série sur l’Upian, la société de production à l’origine de nombreux webdocumentaires tels que Thanatorama ou Gaza/Sderot. Alexandre Brachet, son fondateur, nous emmène dans les studios sons.
Le web-documentaire, avenir du documentaire ? - l'Humanite
(via)Il y a sans doute un avant et un après Gaza/Sderot, la vie malgré tout, en ligne à l’automne dernier. Ces portraits et des regards croisés sur la vie quotidienne des deux côtés de la frontière israélienne ont été visités par 400 000 personnes et un million de vidéos ont été consultées.
Et si ça fonctionne, c’est parce qu’Arte a su être offensif sur ce nouveau terrain à défricher, en travaillant avec des producteurs spécialistes d’Internet, comme Upian et en dotant d’un million d’euros par an une unité consacrée au Web. Cet engagement ne semble pas encore être le même notamment à France Télévisions (excepté France 5, dont un projet de 24 web-documentaires est en cours de réalisation) et à Canal Plus.
Le Web-docu tisse sa toile sur 20minutes.fr
Une évolution qu'Alexandre Brachet d'Upian a constatée avec ses propres productions. « En 2002, avec La Cité des mortes, on essayait d'utiliser des contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis, dans Thanatorama, on a introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros... mort ! Enfin, avec Gaza/Sderot, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces villes, avec, par exemple, une frontière entre deux écrans sur le site. » Upian développe Canon City, un Web-docu sur les prisons américaines, « où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes car je pense que le Web-docu doit être une oeuvre collective ». Et donc, en progrès.
Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr
(via)Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».
Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.
SUNNY SIDE OF THE DOC L'époque est au webdoc - Charente-Maritime / Actualité / Grand La Rochelle - Jeudi 25 Juin 2009 - SUDOUEST.COM
(via)Dans les coulisses d’Upian, 1 - Webdocu.com
by 1 other (via)Le webdocumentaire au CFPJLab « HemispheriqueS
(via)Le 28 avril, le CFPJ Lab proposait une rencontre professionnelle autour du webdocumentaire, une nouvelle occasion de faire partager l’expérience acquise lors de la réalisation de lacitedesmortes.net en collaboration avec la société Upian. Pour ceux qui n’étaient pas là, un rapide résumé réalisé par nos hôtes et l’occasion de découvrir la brillante prestation de Joël Ronez, responsable web de la chaîne Arte.
Des documentaires sur le Web - Alternatives
(via)La crise économique mondiale, les trop lourds processus de production cinématographique et l’attrait pour une plateforme qui rapproche le public des créateurs figurent sans doute parmi les raisons qui motivent les documentaristes à se tourner de plus en plus vers la toile pour y présenter leurs projets. Voici quelques documentaires qu’on retrouve sur le Web.