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Barcodes: connecting the real-world to the virtual

by philippej, 6 comments (via)
"There is much more to be explored beyond the technical achievements of 2D barcodes and that is where the real interesting parts begin."

Comments

You were also required to purchase specialized hardware laser readers to scan these barcodes, making it impractical for everyday personal use. With 2D barcodes any type of data can be encoded independent of a central registry.

C'est dommage ces deux bêtises, le reste de l'article est pas mal.

night.kame said at 07:54 the 25/11/2008

yep. Il y a toujours un manque de devices pour une véritable ubiquité des qr code. L'article prend comme hypothèse que tout le monde possède un iphone :)

karlcow said at 22:12 the 25/11/2008

oops un téléphone portable… jobs sort de ce corps

karlcow said at 22:13 the 25/11/2008

C'est surtout qu'il confond technologie et implémentation. Les codes barres 1D peuvent fonctionner sans douchette laser (comme montré dans Delicious Library), c'est juste plus lent et on n'a pas forcément besoin d'un registre global (ce qu'il ne dit pas en disant "central registry" mais qu'il a l'air de penser très très fort avec son seul exemple sur les ISBN). Mais il est sûr que la densité d'information dans un code barre 2D est telle que ça ouvre plus de portes, comme par exemple celle de mettre des microformats dans les URLs.

night.kame said at 07:52 the 26/11/2008

Au delà de ça un des problèmes est peut-être aussi que ces codes ne sont pas forcément visuellement très agréables à regarder (en tout cas beaucoup moins que les codes 1D). Small is beautiful! Du coup si plus d'informations = taille plus importante, leur multiplication ne risque-t-elle pas lasser rapidement le chaland et de freiner leur adoption à grande échelle ?

philippej said at 22:00 the 28/11/2008

Est-ce que le chaland y peut quelque chose ? Pour les codes à barres 1D, c'était simple, les distributeurs ont peu à peu obligé leurs fournisseurs à mettre identifier leurs marchandises et les containers avec ceux-ci (et quand on a un peu travaillé dans la logistique, c'est une excellente chose). Tout ce qui a changé pour le chaland c'est la caisse qui fait bip, et plus d'étiquette autocollante à détacher en revenant des courses (et en même temps, perte de l'association directe entre l'emballage et le prix, la conscience du pouvoir d'achat va se déporter au global sur le caddie). Ces codes à barres sont vraiment destinés à la chaîne logistique, et les distributeurs en ont profité au final pour supprimer l'étiquetage (ou "tagging" en langage microformat). Et ça ne change pas avec les codes à barres 2D (qui n'ont d'ailleurs plus beaucoup de barres) ! Ils sont déjà là en très grande quantité : aéroport, messagerie postale rapide, microprocesseurs, etc... partout où l'on veut mettre du texte sans avoir la pénibilité de l'OCR pour la relecture. Mais c'est toujours à des fins logistiques. Le QR Code est un type parmi d'autres, mais il a été répandu dans un but bien spécifique : ne pas avoir à saisir des URLs, qui ont plusieurs problèmes rédhibitoires avec un dispositif de saisie limité : elles utilisent l'alphabet latin, sont longues à taper car longues (tout court) et composées de mots ne faisant pas parti des dictionnaires des téléphones. Avec l'avènement des petits capteurs d'imagerie à pas cher (un 0,3 Mpx sufit amplement), c'était du tout cuit, il suffisait juste de convaincre les annonceurs de les ajouter. De toute façon, la production en elle-même de ces codes ne coûte quasiment rien ; si après le chaland ne veut pas les utiliser, c'est son problème de perdre du temps :)

night.kame said at 23:45 the 01/12/2008


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philippej
the 28/11/2008 at 21:45