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November 2006

Rugby - les All Blacks apprennent à parler le français dans la perspective de la Coupe du Monde 2007, organisée en France - Le Blog de Noel Basile

Totale immersion La prochaine Coupe du Monde de Rugby dont 2/3 des Français ignorent la préparation selon un sondage, l'été dernier, du journal l'Equipe se concocte avec le plus grand soin dans le camp néo-zélandais Les All Blacks qui avaient remporté chez eux, en 1987, la première Coupe du Monde de rugby en battant en finale la France (29-9) veulent mettre toutes les chances de leur côté pour figurer de nouveau au palmarès, y compris, et ce n'est pas une mince affaire, en apprenant les rudiments du français afin de se sentir plus à l'aise dès leur premier match de poule, le 8 septembre prochain, au Stade Vélodrome à Marseille. L'équipe néo-zélandaise souhaite mettre à profit actuellement sa tournée européenne, nous apprend le Guardian, pour s'acclimater avec la culture française, sa cuisine et sa langue. Son encadrement ne veut rien négliger dans l'ultime but de soulever le trophée Webb Ellis, qu'ils n'ont plus jamais touché depuis vingt ans, le soir du 20 octobre 2007, au Stade de France.

October 2006

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Chronique de la France vue de l’étranger Comment est-elle perçue dans les pays anglophones ? Quelle est sa place dans la Mondialisation ? Comment est-elle jugée par le monde arabe ? Ses compétences reconnues, ses faiblesses pointées… Les clichés qui la valorisent et Les idées reçues qui la desservent… Un panorama de la presse étrangère à suivre . ici

August 2006

Rainbow Warrior: une télévision néo-zélandaise veut diffuser les aveux des 2 espions français, Dominique Prieur et Alain Mafart - Le Blog de Noel Basile

Rainbow Warrior: une télévision néo-zélandaise veut diffuser les aveux des 2 espions français, Dominique Prieur et Alain Mafart Anonymat très visible Vingt-et-un après le sabotage du Rainbow Warrior, Dominique Prieur et Alain Mafart ont été déboutés par une court d’appel dans leur tentative de bloquer la diffusion, en Nouvelle-Zélande, des images de leur procès Ils veulent se faire oublier, c’est raté. La court d’appel d’Auckland a autorisé aujourd’hui TVNZ, chaîne de télévision néo-zélandaise, de montrer l’ex-capitaine Dominique Prieur et l’ex-colonel Alain Mafart plaidant coupables pour homicide involontaire pendant leur procès dans l’affaire du Rainbow Warrior, le navire de l’organisation Greenpeace coulé, en juillet 1985, dans la baie d’Auckland, causant la mort du photographe portugais Fernando Pereira. La chaîne avait initialement prévu de diffuser, l’an dernier, des extraits captés par les caméras internes du tribunal dans une émission rétrospective marquant le 20ème anniversaire de l’affaire Rainbow Warrior. Les avocats des deux anciens agents de la DGSE, ceux qui furent identifier dans un premier temps sous leur fausse identité d’époux Turenge, avaient saisi la justice néo-zélandais pour atteinte à la vie privée affirmant que leurs clients n’ont jamais donné leur accord pour être filmés pendant leur comparution dans le box des accusés. Les trois juges néo-zélandais qui ont donné ce lundi le feu vert à la diffusion, à l’issu de 18 mois de bataille juridique, estiment que ces images relèvent «de l’intérêt général puisqu’elles rappellent un événement historique ». Événement qui raisonne, donc, toujours dans l’esprit de l’opinion publique en Nouvelle-Zélande après avoir longtemps terni l'image de la France dans le Pacifique sud. Les avocats de TVNZ ont fait valoir que Dominique Prieur et Alain Mafart « ont écrit des livres dans lesquels ils ont décrit l’épisode de leur procès sans évoquer une quelconque humiliation ou sentiment dégradant ». Pour rappel, le Rainbow Warrior a été saboté, dans la nuit du 9 au 5 juillet 1985, par des agents secrets français provoquant la mort du photographe néerlandais d’origine portugaise, Fernando Pereira, revenu à bord du bâtiment après une première explosion destinée à faire peur et forcer les occupants à fuir. Le 22 novembre 1985, Alain Mafart et Dominique Prieur furent condamnés à 10 ans de prison puis transférés sur la base militaire française de l'atoll d'Hao moins d'un an plus tard, à l'issue de négociations qui on abouti au paiement par la France d’une compensation de 7 millions de dollars à la Nouvelle-Zélande et de 8,1 millions à Greenpeace.