PUBLIC MARKS from irols with tag sociologie

Les 6-11 ans sont-ils encore des enfants? La question mérite d'être posée. Car, à force d'être poussés à grandir plus vite, à force d'être confrontés de plus en plus tôt à la réalité des choses, ils tendent à zapper leur enfance. Au risque de devenir des adultes insatisfaits et individualistes.

L’amour d’une mère est-il irremplaçable pour le bon développement du bébé ? Certaines interprétations de la théorie de l’attachement ont pu le laisser penser. Pourtant des travaux ultérieurs invalident ce qui ne serait qu’une idée reçue.

Notre époque est menacée, dans le monde entier, par le fait que la vie de l'esprit a été intégralement soumise aux impératifs de l'économie de marché, c’est à dire à la loi de l’amortissement rapide, à travers la monopolisation des technologies de l’information et de la communication, dites aussi culturelles et cognitives, et qui forment le secteur de ce que nous appellerons ici des technologies de l’esprit.

EN JOUANT, LES PETITS OUVRENT LEUR IMAGINAIRE, DÉVELOPPENT LEUR CRÉATIVITÉ, INTÈGRENT LES RÈGLES DE LA VIE EN SOCIÉTÉ. LAISSEZ-LES DONC S’AMUSER ET RÊVASSER TANT QU’ILS LE SOUHAITENT, INSISTE LE PÉDOPSYCHIATRE PATRICE HUERRE DANS SON DERNIER LIVRE (1). IL NOUS EXPLIQUE POURQUOI.

2007, Fabrice CLOCHARD : comment on décide d'acheter une voiture

Pour les jeunes, Internet est le média de la communication par excellence. Son image positive, son utilisation intensive en font un support privilégié pour les marques souhaitant cibler cette tranche d'âge.

Qu'est-ce qui fait qu'un bébé "s'attache " à sa mère, et plus généralement aux adultes et aux autres enfants qui l'entourent ?

Néosapiens est un magazine d'actualités sur l'engagement individuel, la protection de l'environnement, les questions sociales et humanitaires, le commerce bio et équitable, les ONG, les associations et toutes les initiatives qui contribuent à un monde meilleur.

Il est évident que les gens trouveraient très difficile, peut-être même impossible, de vivre sans ordinateur. Si les ordinateurs disparaissaient pendant une journée, pourrions-nous fonctionner quand même? Participez à l’une des plus grandes expériences sans précédent sur internet. La raison de cette expérience est de découvrir combien de gens peuvent fonctionner sans ordinateur pendant une journée entière et ce qui arrivera si nous participons tous. N’allumez pas votre ordinateur ce jour-là et découvrez si vous pouvez survivre 24 heures sans votre ordinateur?

Après la publication en février 2006 du peuple des connecteurs, je me suis retrouvé engagé en politique presque malgré moi. À mon sens, j’avais écrit un livre scientifique, il fut rangé en sociologie, mes idées jugées contestataires. Depuis, je ne cesse de revenir sur ce que j’ai écrit, parfois de façon moins provocante, avançant dans des directions que je n’avais jamais explorées. Mon nouveau livre, Le cinquième pouvoir, résume ces investigations.

Je ne suis pas le premier à tenter de vulgariser le concept d'identité numérique, Leafar (Raphaël pour les intimes) a ainsi déjà proposé une représentation de l'identité numérique (voir son billet : U.lik unleash Identity 0.2), j'avais également déjà abordé la question dans un précédent billet. Je souhaite avec cet article compléter cette vision et y apporter ma touche personnelle.

Alban m'autorise à se servir de son blog à haut trafic (décuplé par le buzz sur son livre) pour diffuser un peu plus largement le travail que j'ai réalisé sur l'identité numérique. L'image est en anglais mais la traduction devrait venir sous peu chez FC (je pense qu'il a atteint une notoriété suffisante pour passer en mode "code" à l'instar de LLM). Merci Alban pour ce blogoprêt. Vous pouvez retrouver ma note sur le sujet ici /avec son et vidéo/ Leafar.

Gen Y consumers are at the forefront of a host of web-based activities, but behind in others, according to new research.

Market researchers say there's something fundamentally different about tech-savvy millennials, steeped from birth in a fast-moving world of digital data, according to the Seattle Post-Intelligencer (via ConsumerLab).

Chers amis, chers collègues, chers confrères, chers lecteurs et chers constructeurs, Citoyens, l’heure est grave sur les routes. Aveuglés par leurs illusions, nos politiciens ont perdu le sens des réalités.

Répondre à mon plaidoyer de la semaine passée passe d’abord par une réflexion profonde sur le fonctionnement de notre société automobile. On touchera davantage à la sociologie qu’à la prévention routière. La pléthore de réactions a montré à quel point les limitations de vitesse et l’attitude sur la route est un sujet sensible où, bien souvent, les extrêmes sont difficiles à concilier. Et le politique doit, au milieu de ce pugilat, répondre aux soucis et souhaits des uns et des autres, sans oublier l’échéance électorale. Bref, un bel embouteillage des idées et des convictions.

Une enquête, menée par l'Association pour la biodiversité culturelle, sous la direction du sociologue Jean-Pierre Worms, nous apprend que 17% des Francais font partie d'une nouvelle famille socioculturelle, les créatifs culturels, "des créateurs de nouvelles cultures" - traduction un peu obscure du terme américain cultural creatives. Leur particularité : ils vivent dans un systeme de valeurs et de comportements nouveaux, ouvert au développement personnel et à la recherche sur soi, à la spiritualité, à l'ecologie, à la solidarité, au dialogue, valeurs dites féminines...