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Sur une note amusante, Alec Couros a conçu un joli montage vidéo en guise d’introduction à un cours sur l’utilisation des nouvelles technologies en classe.

Représentation schématique, pour les élèves, des différences entre le constructivisme, le socioconstructivisme et le connectivisme.

Après le succès participatif de la conférence en ligne sur le connectivisme, George Siements rapplique avec une conférence sur l’avenir de l’éducation. The Future of Education Online Conference se tiendra du 4 au 8 juin.

Dans la foulée de la conférence sur le connectivisme, cette vidéo illustre magnifiquement comment les nouvelles technologies catalysent le savoir. Intitulée The Machine Is Us/ing Us, le screencast est l’oeuvre de Michael Wesch, assistant professeur d’anthropologie culturelle à l’Université Kansas State.

Le premier volet de la conférence en ligne sur le connectivisme a été une expérience fascinante. J’ai été saisi du contraste dans la transmission des idées par rapport à une conférence traditionnelle. En termes d’apprentissage, c’est le paradigme de l’apprenant vs. le paradigme de l’enseignant.

En prévision de la conférence sur le connectivisme qui aura lieu en ligne du 2 au 9 février, George Siemens présente Situating Connectivism, un diaporama commenté qui fait un excellent survol des principales théories de l’apprentissage.

Intel offre SuiteTwo, une suite d’applications pour blogues, fils RSS, wikis et maillage en ligne, s'associant à Six Apart (blogues), Socialtext (wikis), NewsGator (agrégateur), SimpleFeed (fils RSS) et SpikeSource (intégration).

L’apprentissage n’est pas ce parcours linéaire que les programmes scolaires, dans leur simplicité préordonnée, veulent nous faire croire. George Siemens fait un excellent exercice de synthèse qui rassemble plusieurs théories éducationnelles dans un modèle dynamique de l’apprentissage.

Dans Constructivism vs. Connectivism, George Siemens présente un aperçu intéressant des limites du constructivisme en tant que méthode pédagogique.

Une étude de l’Institut C.D. Howe avait fait passablement d’éclat l’année dernière en révélant que le nomdre d'élèves dans une classe a peu d'incidence sur les résultats scolaires. Cela est peut-être le cas dans un contexte d'enseignement magistral, mais quand il s'agit de faire de l'enseignement différencié.

J'ai choisi de ne pas renouveler mon abonnement à Vie pédagogique. Plusieurs raisons m'ont décidé à laisser tomber une revue que j'ai longtemps lue avec grand intérêt.

Une fois acquises les connaissances élémentaires, qu’est-il besoin d’un programme rigide qui limite les apprentissages quand les nouvelles technologies de l’information nous offrent le monde à la portée des doigts ?

Selon un sondage, les jeunes considèrent le courrier électronique comme vieillot, lui préférant la messagerie instantanée (instant messaging). L’article dans eSchool News (For students, eMail already outdated) illustre non seulement le fossé technologique qui sépare les professeurs des élèves, mais également les disparités dans leurs façons de communiquer et d’apprendre.

George Siemens nous offre un diaporama sur le thème de l’apprentissage en contexte. Comme la plupart des documents PowerPoint, celui-ci nécessite un bon effort de décodage. Néanmoins, on réussit à en saisir les grandes lignes.

Yochai Benkler, professeur de droit à l’Université Yale, a compris que les réseaux recèlent une immense richesse. Il vient de publier The Wealth of Networks: How Social Production Transforms Markets and Freedom qu’il offre généreusement sous licence Creative Commons (source : Elearnspace).