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Le député socialiste Philippe Martin s'est taillé mardi soir un vif succès lors de l'examen du projet de loi sur les OGM, en révélant dans l'hémicycle avoir été appelé à venir en séance par le groupe UMP... parce qu' "il n'y a pas assez de députés UMP sur les bancs".

Devedjian traite une adversaire politique de "salope" devant une caméra. Bin voyons.

Quel code de conduite faut-il inventer pour Second Life ? Cette question, tous les gestionnaires d’espaces de débats et de territoires très visités se la posent, en particulier ceux qui modèrent des discussions politiques. La société éditrice et propriétaire du monde, Linden Lab également cherche à renforcer quelques principes fondamentaux. Installé depuis plus six mois dans Second Life, nous avons pu tirer les premiers enseignements de cette expérience. Les responsables des QG politiques français néthiquetés, c’est-à-dire de l’Île UMP, de la Ville MoDem et du Jardin Les Verts — le comité du PS a supprimé la néthique de son espace une semaine avant le premier tour des présidentielles, alors que le site officiel Desirsdavenir.org est néthique — ont répondu à quelques questions pour dresser un premier bilan de nos expériences communes. Les militants de l’UMP et du Modem ont choisi de s’installer durablement dans Second Life.

Un article d'Alexandre Piquard sur la polémique entre les Ogres de Barback et le maire d'Oyonnax

Quand Le Meur fait le moraliste à deux balles : « small riots at La Bastille... socialists never stop in this country :( »

Soucieuse de l'émergence d'"internautes citoyens responsables", l'association Les Humains Associés a élaboré une "charte nethique" qu'elle présentait samedi lors d'un colloque à la Cité des Sciences de la Villette en présence de responsables internet de l'UMP, de l'UDF et de Désirs d'Avenir.

Memoire-Vive.org rencontre François Bayrou, candidat de l'UDF à l'élection présidentielle, à l'occasion de ses voeux à la presse. Interview décontractée où il est question du rôle essentiel de l'Internet dans la compagne, du virtuel et des méthodes qui consistent à attirer l'attention sur l'accessoire pour la détourner de l'essentiel...

"De Gaulle a un aéroport et une place. Pompidou, un centre d'art moderne et une voie rapide, Mitterrand une bibliothèque et même un bout de quai au bord de la Seine. Quant à Chirac, la ville devrait penser à rebaptiser à son nom la rue de Vaugirard. Après tout, c'est une des plus vieilles rues de Paris. Elle fait des tours et des détours dans toutes les directions et ne termine nulle part. Une belle idée pour une rue Jacques-Chirac."

"De Gaulle a un aéroport et une place. Pompidou, un centre d'art moderne et une voie rapide, Mitterrand une bibliothèque et même un bout de quai au bord de la Seine. Quant à Chirac, la ville devrait penser à rebaptiser à son nom la rue de Vaugirard. Après tout, c'est une des plus vieilles rues de Paris. Elle fait des tours et des détours dans toutes les directions et ne termine nulle part. Une belle idée pour une rue Jacques-Chirac."

C'est le Canard Enchaîné qui nous la raconte : en septembre 2005, les dirigeants s'aperçoivent qu'en ajoutant "/admin" à la fin de l'adresse du site on tombait directement sur le back-office( la partie réservée aux administrateurs et rédacteurs du site) sans avoir besoin de taper un code. On pouvait donc modifier toutes les pages. La semaine dernière les journalistes du Canard ont pu s'apercevoir que le problèmé était loin d'être réglé. Mieux : ils ont accédé au fichier des adhérents. (soit dit en passant :ne pas protéger ce type de données est passible de cinq ans de cabane)

Mais d'après Google France, c'est l'UMP qui aurait acheté ces publicités...

Mais d'après Google France, c'est l'UMP qui aurait acheté ces publicités...

Actualité, médias, politique... des avis sur le vie et mes envies.

Deux députés PS et UMP s'associent pour défendre nos intérêts universels ! Belle leçon d'espoir !

À noter que la sécurité semble EXCELLENTE au service Comm' de l'U.M.P. Deux bases de données, non cryptées, dans une machine connectée au web. Un vrai bonheur, surtout pour les 3 594 inscrits qui se retrouvent, aujourd'hui, avec leurs données privées, dans la nature numérique.

"La France a envie qu'on la prenne. Ça la démange dans le bassin." Dominique de Villepin, premier ministre.