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Twitter envisage d'engager des poursuites après la publication sur le site américain TechCrunch d’informations financières, obtenues grâce au piratage informatique du compte de messagerie d’un de ses employés.

Voici l’affaire qui secoue la Blogosphere, Twitter et TechCrunch depuis ce matin (au cours de la nuit sur la cote ouest américaine). Un Hacker aurait saisi des documents très confidentiels (apparement rien de très passionnant) concernant Twitter et les a envoyé à TechCrunch (et à d’autres blogs) il y a 24 heures. Michael Arrington a décidé d’en publier une partie très prochainement (sans doute dans les 24 heures qui viennent). Décision qui suscite déjà une très grosse polémique sur le web Américain. Voici un extrait de l’article de Michael:

So do us a favour – if you see people spreading the rumour, refer them to this blog post and mention you heard from a friend that “Techcrunch are full of shit.”

Launched by lawyer and tech investor Michael Arrington in 2005, TechCrunch became one of the world's most popular blogs by reporting on the movers and shakers of Silicon Valley. But take a look at the Valley these days: Nothing's moving. Nothing's shaking. Born of a boom that's long since gone bust, TechCrunch now seems irrelevant. Recent headlines such as "Box.net Hones In On Businesses With New Social Features" aren't helping. Stick a fork in this one — it's done.

Dans le même esprit il y a également Pilipili (http://www.pilipili.com/) qui sort une version iPhone.

SG: Oh, that’s bullshit. You think, in a worldwide depression, that we’re not interested in a company that makes 600 million euros? Come on. It’s bad PR is what it is.

Ou comment dire que leur job est de faire du copier-coller d'articles :).

Résumé du dernier épisode :

Michael publie un billet sur l’apparente inefficacité des entrepreneurs européens qui préférent prendre du temps à déjeuner, Loic répond en précisant que les américains connaissent mal l’Europe et demande même s’il faut inviter Michael l’an prochain, sur ce Michael se défend en disant que LeWeb préfère la censure au dialogue et menace “de ne plus envoyer de bloggeurs de TechCrunch” à la conférence et d’organiser un évènement le même jour. Loic répond que TechCrunch se défend en menaçant LeWeb.