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En mars 2007, Pobi, la filiale industrielle ossature bois du Groupe JACOB et l'équipe d'architecte ABW (Patrice WARNANT) remportaient le 1er prix du concours « Une maison bois pour un meilleur environnement » sous le patronyme « As en bois ». Au cours des 18 derniers mois, ce concept, principalement destinés aux opérateurs publics, a vu son offre s'améliorer en proposant dorénavant aux Maîtres d'Ouvrages des logements rationnels, fonctionnels, adaptables et reproductibles » ...

10% à 15% de la consommation électrique des ménages sont consacrés à l’éclairage de la maison. L’électricité coûte cher et sa production pèse sur l’environnement. S’éclairer en consommant moins d’électricité doit devenir un réflexe. Comment faire ? LE CHOIX D’UNE LAMPE Il existe différentes sortes de lampes. Voici un bref aperçu de leurs avantages et inconvénients.

L’air intérieur de nos maisons et appartements serait plus pollué que l’air extérieur. Peintures, mobilier, produits d’entretien, isolants… sont une source de produits toxiques variés. De récentes études montrent que les plantes permettent de lutter efficacement contre la pollution de l’air intérieur.

Le site des AMAP de Loire-Atlantique

Semences Paysannes est un réseau constitué d'organisations paysannes et d’agriculture biologique nationales, d'organisations spécialisées, d'artisans, de paysans, d'associations semencières ou pépiniéristes, d'associations de développement et d'associations de conservation de la Biodiversité.

Une décoction de feuille de rhubarbe est un poison violent contre les pucerons et les chenilles : faites macérer 500 grammes de feuilles fraîches de rhubarbe dans 5 litres d’eau pendant 5 jours ; diluez la macération dans 5 volumes d’eau. - Récupérez de la cendre de cigarette, mettez-la dans l’eau bouillante et pulvérisez quand le mélange aura refroidi. - Plantez des allumettes la tête dans la terre. Le soufre qui s’en dégage vous en débarrassera - Faites bouillir 150 g de savon de Marseille dans 1 litre d’eau et ajoutez 1 dl d’huile de cuisine. Mélangez le tout et diluez dans 10 litres d’eau de pluie. Pulvériser

C'est le grand rush vers des vacances d'été bien méritées et après avoir bouclé vos valises, après avoir chargé la voiture, vérifié que vous aviez bien tout fermé, l'eau, l'électricité, emporté les bouées ou les sacs à dos, les pelles, les rateaux, la DS du petit dernier... vous allez prendre la route ! Et si vous adoptiez une éco-conduite ? Voici quelques petits conseils pour bien commencer vos vacances :

La révolution domestique à venir, c’est la fin de l’éclairage à incandescence. Victime de l’évolution technologique, alliée à la nécessité d’économiser l’énergie, la vieille ampoule est condamnée. Même le législateur hâte sa disparition en interdisant sa commercialisation dans de nombreux pays [1]. Économique à produire, plutôt fiable, la lampe à incandescence souffre de son inefficacité : plus de 90% de l’énergie qu’elle consomme est restituée en chaleur au lieu de lumière. Elle est une meilleure source de chauffage que d’éclairage. Comme elle n’est généralement pas utilisée dans ce but (sauf dans certaines applications comme les couveuses par exemple), c’est 90 % à 95 % d’énergie perdue, un rendement inacceptable de nos jours. Dans un pays développé, suivant la latitude, l’habitat et le mode de vie, l’éclairage représente de 10 à 25 % de la consommation électrique d’un foyer. Selon l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie, la moyenne est de 14 % en France. Un poste de dépense qui est non négligeable pour le particulier, et encore moins pour le tertiaire (bureaux et commerces où la gabegie de lumens règne) et les collectivités (éclairage public). Mais il n’est pas tout de constater que la lampe à incandescence est énergétiquement calamiteuse, encore faut-il disposer d’alternatives avant de la mettre au rencart après plus d’un siècle de bons et loyaux services. Il semble que ce temps soit venu.

Règle n°6 : Redécouvrez les recettes de grand-mère sommaire Nos ancêtres avaient le goût des choses simples. Assurément. Ils connaissaient les propriétés naturelles des produits. Un tel pour se parfumer, un tel pour faire la lessive, un tel pour laver le sol ou récurer un évier. Et savaient les employer à bon escient. Le développement de la chimie a bouleversé ces pratiques. Les substances de synthèse ont remplacé les produits naturels. Et les polluants biologiques (poils d’animaux, acariens, moisissures), qui fourmillaient autrefois dans les maisons, sont devenus chimiques. Mais les craintes récentes émises par les scientifiques au sujet de certaines polluants comme le formaldhéyde ou les éthers de glycol, présents dans de nombreux produits d’utilité courante, marquent peut-être un tournant ou plutôt un retour vers des pratiques plus saines. Si tel est votre cas, ces méthodes, ressorties des cahiers de grand mère, vous sauront certainement d’une aide précieuse.

Comment rassembler des milliers de personnes et laisser les lieux propres ? Comment inverser la pratique qui consiste à privilégier les gobelets jetables qui jonchent le sol après chaque évènement ? Comment proposer une solution pratique, écologique, qui réduise l'impact sur le production, le transport, et le traitement des déchets ? La solution, c'est Eco-cup ! Un gobelet consigné, réutilisable pendant toute la durée de la manifestation et qu'on emporte chez soi un souvenir (et oui Eco-cup peut être personnalisé aux couleurs de l'évènement). Au coeur du projet, la réutilisation !

31 “maisons passives” de 110 à 155 m2 seront construites dans le Rhone. En effet, le 17 juin le Groupe MCP a inauguré la maison témoin de son programme de maisons passives à Saint-Priest. Pour obtenir l’appellation “Maison Passive” les maisons des Hauts de Feuilly s’appuient sur de nombreux critères. Il s’agit là d’une première pour un lotissement privé. * Une conception architecturale bioclimatique * Une isolation thermique renforcée * Une étanchéité à l’air contrôlée * Un système de ventilation efficace et performant * Des équipements très efficaces (chauffe-eau, éclairages, électroménagers,….)

Avec la hausse du prix des carburants et la prise de conscience pour préserver notre planète, beaucoup de conducteurs utilisent maintenant l’éco-conduite.