2014
A la frontière nord-coréenne, la Chine décide de faire peur (Mediapart) | Jordan Pouille
by night.kameLes moins chanceuses deviennent des travailleuses du sexe et échouent dans des bordels de Tumen, Changchun ou Yanji. Comme au Pont de l’Arc-en-ciel, un karaoké poisseux aux néons roses, que nous fait découvrir Hong, notre chauffeur intrépide, également rabatteur à ses heures perdues. À chaque passe de 300 yuans (37 euros), il empoche 100 yuans… contre 30 yuans pour les filles, 15 si elles sont nord-coréennes. Comme l’établissement est modeste, c’est aux filles de gérer seules les clients ivres et violents. Mais que fait la police ? Hong sourit. « Le Pont de l’Arc-en-ciel est en concurrence frontale avec La Rivière dorée et Le Temple de jade… tenus par les flics. À Yanji, ils contrôlent la majorité des bordels ! »
Personne ne veut émigrer là-bas pour les aider à changer la situation ?
A 300 € par mois de salaire, la Grèce réalise enfin sa convergence vers le modèle chinois !
by dszalkowski2013
Chine : vers une explosion des cancers dus à la pollution | Rue89
by bouilloireD’après cette carte, les villes de l’Est de la Chine comme Shanghaï comptent de nombreux cancers gastriques
Il faut dire qu'à côté de l'eau du robinet imbuvable, le tofu douteux et les brochettes congelées, décongelées, recongelées, plus tout ce qu'on ne sait pas et qu'on ne préfère sans doute pas savoir, les scandales alimentaires européens font pâles figures. Et oui, on se doute bien qu'on a mangé des trucs pas clean pendant nos deux ans là-bas.
2012
HONG KONG • WeiboScope se moque de la censure chinoise | Courrier international
by MoniqueUn logiciel capable de récupérer les messages effacés sur Sina Weibo, le site chinois de microblogging [avec plus de 300 millions d'utilisateurs en Chine], a été mis au point à l'université de Hong Kong. La censure de Chine continentale surveille de près l'équivalent chinois de Twitter afin d'effacer les posts à caractère politique, mais désormais, WeiboScope permet à des chercheurs de récupérer les messages supprimés pour les analyser. Le projet pilote a été lancé début 2011, et les universitaires sont aujourd'hui en mesure de partager leurs conclusions.