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2008

FIFA 09 confirme le retour de EA face à Konami

FIFA 09 est un titre d'exception qui s'appuie sur le jeu en ligne le plus complet qu'ait proposé une simulation sportive à ce jour. Développé par des connaisseurs, pour des connaisseurs, il tient ce réalisme qui lui colle au cuir de son gameplay inépuisable. A n'en pas douter, nous tenons là la nouvelle référence du genre sur PS3 et Xbox 360.

2007

PS3 News - Vidéo gameplay pour PES 2008

Les jeux de foot sur console étaient déjà beaucoup plus intéressants que les « vrais » match à la télé, mais là ils deviennent en plus beaux !

2006

ESPNsoccernet - World Cup - Materazzi admits to insulting Zidane

Marco Materazzi has admitted he insulted Zinedine Zidane prior to the head-butt which earned the Frenchman a red card in Sunday's World Cup final.

Zinedine Zidane - Wikipedia, the free encyclopedia

(via)
[it] may lead to the FIFA Executive Committee imposing harsh sanctions and even disallowing Italy's team the World Cup victory if Materazzi is convicted of having insulted Zidane with racial slurs.

Mondial - Finale : l’expulsion de Zinedine Zidane aussi considérable que la victoire italienne - Noel Basile

Le carton rouge de Zinedine Zidane occupe autant de place, ce matin, à la une des quotidiens anglo-saxons que la consécration de l’Italie en finale de la Coupe du monde. La stupéfaction se partage le désaveu mais aussi le regret devant une sortie si assombrie. Maigre consolation. Si l’attitude est unanimement condamnée, son auteur n’est pas totalement voué aux gémonies ni l’Italie complètement saluée pour la manière avec laquelle elle emporta la finale. La presse londonienne est aussi déconcertée que le reste du monde par la conduite incompréhensible de Zinedine Zidane qui lui a valu le carton rouge, hier soir, après son coup de tête asséné à Marco Materazzi, à l’instar de l’Independent décrivant un «geste de violence le plus autodestructeur (…), un instant qui ruina une grande réputation et une brillante carrière». D’ailleurs, c’est le même Independent qui pose les bases de l’interminable discussion toute prévisible depuis cette finale perdue par la France dans les conditions qu’on connaît -mais qui ne changera pas, malgré tout, l’issue du match- en reprenant scrupuleusement les déclarations de Marcello Lippi. L’entraîneur de la Squadra Azzura se défendit de toute délation auprès de l’arbitre affirmant que c’est le quatrième assistant qui l’en avait averti après avoir visionné les images sur son écran. «Si c’est le cas», commente le journal, «il s’agirait d’une importante brèche ouverte dans le règlement, car la preuve par l’image (l’arbitrage vidéo) n’est pas encore admise en cours de match». Dans son édition européenne, le magasine Time va dans le même sens lorsqu’il avance que «pendant les trois minutes» qu’il a fallu à l’arbitre pour sortir son carton rouge, «les protestations des Italiens et les images au ralenti rediffusées sur le grand écran du stade influencèrent l’arbitre qui prit sa décision sur une scène qu’il reconstitua dans son esprit sans l’avoir vue». Au demeurant, le Time décrit ainsi la maudite scène: «Zidane se tourna et commis l’acte qu’il regrettera pour le restant de sa vie; un coup de tête dans la poitrine de Materazzi, là où il pouvait faire le moins mal, qui offrit à l’Italien un bon argument pour se jeter par terre et faire comme s’il avait reçu un tacle des deux pieds dans la figure». Le Guardian tente, de son côté, de comprendre le mobile de Zidane sans grande conviction car «le milieu du foot impose en général une omerta sur ce type de comportement et Zidane, déjà dans ses bons jours, parle peu». Ce à quoi répond en échos le Telegraph en suggérant que «Materazzi a proféré, sans doute, des propos désagréables après deux accrochages dans la surface de réparation». Mais, se désole-t-il, «le match tirait sur sa fin avec des Bleus dominateurs et prêts pour porter l’estocade». La morale de cette triste fable, puisqu’il en faut une, est résumée par le Times. «Dans son ultime apparition dans le football professionnel, le joueur le plus célébré de sa génération fut conduit vers sa retraite dans un chaos que personne n’envisagea. (…) le plus célèbre des Bleus aura à jamais une ostensible marque rouge attachée à son nom». Dur mais exact.