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December 2005

La république des livres: Sarkozy jette de l'huile sur l'Histoire

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Arno Klarsfeld est certainement brillant par bien des aspects mais il est totalement discrédité sur le plan intellectuel. Et c'est ce penseur à roulettes que Sarkozy est allé chercher pour apaiser les consciences ! J'y verrais plutôt un motif supplémentaire d'inquiétude sur l'évolution de la polémique.

July 2005

Sur Sarkozy

by 2 others (via)
recueille des liens vers des articles ou d'autres textes en rapport direct ou indirect avec Nicolas Sarkozy, ministre de l'intérieur français. Chaque lien est accompagné d'une brève citation.

June 2005

Liberté conditionnelle et récidive - Journal d'un avocat

Le choix est le suivant : faut il sacrifier les centaines, si ce n'est les milliers, d'anciens détenus qui une fois rendus à la liberté mènent une vie réinsérée et honnête pour éviter les cas rarissimes de récidive ? Si au lendemain de tels crimes, la passion pousse à crier oui, la raison, quand elle reprend enfin le dessus, répond sereinement non.

Le Monde.fr : "Sarko, lui, est populiste", se félicite Bernard Accoyer

le député de la Haute-Savoie précise : "Sarko, lui, est populiste. Ce que Fabius n'est pas, c'est pour ça qu'il n'a pas d'avenir."

Libération : L\'euro et les plombs de Sarkozy

by 1 other
«En fin de réunion, Claude Guéant, le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, a pris par la manche Pierre Mutz, le préfet de police de Paris et lui a donné un ordre : "Gérard Dubois doit partir."» Et un peu plus loin, cette confidence d'un «proche du ministre» anonyme : «Dans l'épisode Cécilia, il y en a certains qui se sont laissés aller à ricaner, et on a des noms.» Délit de ricanement passif : au poste, mon gaillard ! Comme si on y était. De quoi Gérard Dubois est-il coupable exactement ? De quel ricanement ?

May 2005

Libération : Sarkozy, délices de l\'euphémisme

Aujourd'hui, irrésistiblement, mesquinement, on a envie de crier : bien fait ! On ne devrait pas. Pas maintenant. On devrait respecter la douleur. C'est dur, le mal d'amour. Dur pour tout le monde. Mais rien à faire. Si l'on a invinciblement envie de crier bien fait, c'est parce que cette exhibition conjugale fut une violence. Une violence faite au téléspectateur, au citoyen, une violence aux personnes, qui n'entrait pas dans les statistiques. A tous ceux d'entre nous que l'on transformait, sans leur demander leur avis, en complices passifs de cet exhibitionnisme ministériel.

April 2005

2 mots après Sarko

Amusante analyse du discours sarkozien

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