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PUBLIC MARKS from OCTVnet with tag culture

06 October 2008

Marcelline Delbecq et Benoît Delbecq, Vert Pâle

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Lecture-performance, Marcelline Delbecq : textes, installation, lecture, chant Benoît Delbecq : piano, piano préparé, électronique, samplers, voix . Installation live sonore et visuelle réalisée en duo et qui met en jeu littérature, musique, manipulation en direct du son et cinéma muet, Vert Pâle rend hommage à l'actrice russe Alla Nazimova. Icône charismatique de l'âge d'or du muet hollywoodien, elle est aujourd'hui tombée dans l'oubli, tout comme la couleur de ses yeux, vert pâle, que le noir et blanc ne peut restituer. Sur un écran placé derrière les performeurs, des éléments de textes se succèdent tels les sous-titres d'un film invisible ainsi que l'image fascinante de Nazimova dans un court extrait de Camille (1921) de Ray C. Smallwood. C'est donc autour d'une scénographie minimale que Marcelline Delbecq et Benoît Delbecq déroulent un récit morcelé fait de voix, notes et sons dont les déclinaisons infinies se répondent en écho.

01 October 2008

Bedoin Soundclash, interview & concert

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Bedouin Soundclash est un groupe de musique canadien, originaire de Kingston en Ontario. Leur style peut-être décrit comme étant un mélange de reggae, de rock, de soul et de ska. Si le nom de Bedouin Soundclash ne vous dit pas grand chose, le hit planétaire "When the night feels my song" parlera beaucoup plus à vos oreilles. Rencontre avec l'un des membres du trio canadien venu à Toulouse (au Kléo) défendre sa dernière création : Street Gospels.

30 September 2008

Fujiya & Miyagi

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"Knickerbocker" Le titre d'ouverture du troisième album du trio Fujiya & Miyagi, Fujiya & Miyagi c'est l'histoire d'un duo (David Best et Steve Lewis) devenu trio, connu pour sa culture encyclopédique en matière de krautrock, de disco underground, d'electro punk-funk et de vieilles machines.

29 September 2008

John M Armleder & Christian Bernard

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Dialogue sur les murs entre John Armleder et les collections publiques de la ville de Toulouse. Si le destin des œuvres d’art est de venir se fondre dans les décors domestiques, urbains ou muséaux, celui des décors ne serait-il pas de se confondre aux œuvres ? C’est ainsi que les peintures font tapisserie, que les meubles se combinent aux tableaux pour se faire structures et supports picturaux Rien ici n’est à prendre pour autre chose qu’un change donné dans le champ indéfini des propositions au titre de l’art. Cela relève, chez Monsieur Armleder, de la mécanique de précision ou, si l’on préfère, d’une nouvelle acception de la notion duchampienne de beauté d’indifférence. À ceci près qu’il y entre un fort coefficient de jeu où l’humour dédramatise les ruses de l’ironie, où le plaisir de l’improviste s’émancipe de la tyrannie du « dur désir de durer ». Rencontre avec Christian Bernard, directeur du MAMCO et directeur artistique de l'édition 2008 du Printemps de septembre et John Armleder, artiste phare de cette génération et de cette même édition.