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Parfum fétide des années 30… seconde partie il est passionnant de constater avec quelle constance nos politiques refont la même erreur que dans les années 30.  Voie Militante Autour de ce sujet : Parfum fétide des années 30, première partie.

Emmanuel Todd analyse la conférence de François Hollande sur l’Euro Emmanuel Todd analyse la conférence de François Hollande. Analyse intéressante. Mais quelle est la part du voeux pieux et celle de l’analyse d’une réalité ? Cela ne serait pas la première fois que E. Todd se plante sur Hollande. Néan

Les traces numériques de Valérie Trierweiler à l’Elysée Malgré l'acharnement de l'équipe des communicants webosphériques de François Hollande à effacer les traces de son passage à l'Elysée, nous disposons encore de beaucoup d'outils pour nous rappeler que, oui, Valérie Trierweiler fut bel et bien la

Voici une chronologie de l’annonce, par les médias, de la séparation

Ségolène Royal annonce qu'elle et son compagnon François Hollande se sont séparés, à une date qu'elle a refusé de préciser, dans un livre intitulé Les Coulisses d'une défaite, à paraître mercredi.

Au titre de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), la candidate socialiste à la présidentielle Ségolène Royal et son compagnon François Hollande auraient dû s'acquitter d'une somme sept fois supérieure à la somme réellement payée en 2006 selon les révélations publiées mercredi 7 mars dans "Le Canard Enchaîné". Ségolène Royal avait elle-même rendu public son patrimoine le 16 janvier à la suite d'une première polémique infondée. C'est ce patrimoine qu'a évalué le journal satirique dans le détail, révélant des sous-estimations grossières de plusieurs des biens immobiliers du couple.

Un institut s'est penché sur les recherches effectuées par les internautes sur la campagne. 50 % des requêtes concernent Ségolène Royal, loin devant Nicolas Sarkozy (32 %) et François Bayrou (11 %). « Hollande », « décolleté », « garde-robe » (sic !) représentent 14 % des mots-clés associés à la candidate. Pour le candidat UMP les termes péjo­ratifs représentent près de 4% des recherches, avec par exemple : « anti-Sarkozy », « points faibles », « l'ennemi c'est Sarkozy ».

On apprend dans Le Parisien qu'en 2003 le fil de François Hollande, Thomas, s'est également fait piquer son joli Typhoon et que la police avait mis les grands moyens pour retrouver les auteurs de cet atroce délit.

On apprend dans Le Parisien qu'en 2003 le fil de François Hollande, Thomas, s'est également fait piquer son joli Typhoon et que la police avait mis les grands moyens pour retrouver les auteurs de cet atroce délit.