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Type :texte imprimé Auteur :Mariani, Angelo (1838-1914) Titre(s) :Album Mariani : portraits, biographies, autographes / [par A. Mariani] Publication :Librairie Henri Floury (Paris) Auteur(s) :Uzanne, Joseph (1850-1937). Annotateur Lalauze, Adolphe (1838-1906). Illustrateur Cote : NUMM-299357

"never has anything been so highly or justly praised.” A good 20 years before the original cocaine-infused Coca-Cola taught the world to grind its teeth and give ineffectual bathroom-stall handjobs in per•fect har•mo•ny, there was another drink of choice among those wishing to feel invigorated and overconfident for no good reason. It was called “coca wine” and it was loved not only by self-important blowhards wearing too much jewelry but by Kings and Popes and… oh, right. Anyhow, it was called Vin Tonique Mariani (or simply Vin Mariani) was sold as a curative, and in the latter half of the 19th century it was a medicinal, recreational, and marketing powerhouse. To paraphrase J.J. Cale “Czars don’t lie, Popes don’t lie, Queens don’t lie...”

Et puis le tableau de Rouen est un témoignage unique de la société parisienne à la Belle Époque. Le « Tout-Paris » est ici représenté, du peintre doyen Harpignies (assis à droite la canne à la main) en conversation avec le sous-directeur des beaux-arts Dujardin-Beaumetz, à Ginette Lantelme (au centre du tableau), la femme du directeur du journal le Matin, dont la beauté émerveillait Paris, en passant par Angelo Mariani (à gauche de Mme Lantelme), l’inventeur à succès du « vin Mariani » — l’ancêtre du Coca-Cola —, Grunberg, le célèbre médecin (en bas à l’extrême gauche) et les peintres Guillemet, Rochegrosse, Baschet et Grün lui-même, entre autres bien sûr.

Cher Monsieur, on a chanté les divines propriétés du Vin de Mariani, en musique, en vers et en prose, mais ce que l'on n'a pas assez....

Inventé en 1863 par le pharmacien Angelo Mariani, le vin du même nom associait vin de Bordeaux et extrait de coca. De nombreuses personnalités des arts, de la littérature et de la politique apporteront leur appui à cet élixir mirifique : Edison, Poincaré, Jules Verne, Émile Zola, le Prince de Galles et même le Pape Léon XIII qui ne quittait pas sa fiole. Le lavis que je présente ici est le projet de contribution à l'album Mariani réalisé par Luc Olivier Merson, vision certainement inspirée par le breuvage miraculeux.

Réclame pour le vin Mariani. Dessin et dédicace de Léon Comerre "Toute sa vie, O Mariani ! Il chantera ton vin béni" Extraite de "Figures Contemporaines", Tome 8. Angelo Mariani (1838-1914) développa en 1863 une boisson tonique, composée à partir de vin de Bordeaux et d'extrait de feuilles de coca, commercialisée à l'époque sous le nom de vin Mariani. Ce fut un succès énorme qui lui valut la célébrité dans toute l'Europe. Il sut confier la publicité de son vin aux plus grandes célébrités, notamment littéraires, auxquelles il consacra un reccueil biographique publicitaire : "Figures Contemporaines" en 1894. Par la suite, une quinzaine de volumes furent publiés au rythme de un par an. [1]

En 1870 Angelo Mariani (1838-1914), préparateur en pharmacie, exploite les vertus stimulantes de la coca du Pérou en créant le vin Mariani à base de vin de Bordeaux et d'extraits de feuilles de coca, élixir merveilleux, dont il sut confier la publicité aux plus grandes célébrités, notamment littéraires : « J'ai à vous adresser mille remerciements, cher Monsieur Mariani, pour ce vin de jeunesse qui fait de la vie, conserve la force à ceux qui la dépensent et la rend à ceux qui ne l'ont plus » (Emile Zola, 1895) , « Cher Monsieur, J'ai reçu un tel secours de votre vin au moment de mes dernières couches que je vous conjure de m'en faire envoyer d'urgence une nouvelle caisse » (Léon Bloy, 1898). Drogue légale on dit que chaque verre contenait l'équivalent d'une ligne de cocaïne pure !

Portrait de Angelo Mariani gravure exécutée par Bauer en 1925 Dimensions 27 x 17,5 centimètres, parfait état Ce document est un original du XXe siècle.

In 1863, Angelo Mariani added coca leaves to wine to create Vin Mariani. This ad was published in the July 1898 Century magazine. The ethanol in the wine extracted the cocaine from the coca leaves creating cocaethlyene. This substance was a powerful mood altering beverage endorsed by actors and actresses, authors (Ibsen, Zola, Jules Verne, Dumas, Doyle), composers (Massenet, Gounod, Faure), royalty (Queen Victoria, King George I of Greece, King Alphonse XIII), President McKinley and 2 Popes: Leo XIII and Pius X.

THE SCOTTISH GIRL WHO MARRIED THE FOUNDER OF JAPANESE WHISKY

The Englishman drinks wine, the American woman wears a crown of feathers, the Dutchman smokes a pipe. The artist is not the famous Hiroshige, but a lesser-known namesake.

Japansk whiskyhistoria är konfliktfylld och dramatisk. Suntory och Nikka talar inte med varandra. Deras whisky drar medvetet åt olika håll. Nikka anammar den klassiska skotska stilen och ”dyrkar” fortfarande det europeiska arvet, över 70 år efter starten. Frågan är varför? Yoichi slår nämligen förebilden rejält. Välkommen till världens kanske främsta whiskydestilleri.

Not many people would associate Japan with world class whiskey but that's exactly what you'll find in the small town of Yoichi. The Nikka Whiskey Distillery offers tours, tastings and a brilliant insight into the history of whiskey making in Japan.

LIKE English wine, it has suffered from the taint of inauthenticity and has been the butt of condescending jokes. But now Japanese whisky has scotched its critics by being voted the best in the world, ahead of its Scottish rivals. Yoichi 20-year-old, distilled on the shores of the Sea of Japan, has become the first variety produced outside Scotland to win the coveted single malt award in an international competition run by Whisky Magazine, the industry bible.

Découverte d'une petite ville proche de la mer, Yoichi, célèbre pour ses usines de Whisky qui sont la véritable surprise de cette première semaine du mois d'août. Immense territoire recouvert par les installations d'une distillerie miraculeuse qui évoque les vastes landes d'Ecosse, tout est là, du musée aux entrepôts de stockage, des caves géantes aux magasins de liqueurs. On y apprend que Masataka Taketsuru (1894-1979), le père du whisky japonais Nikka, partit en Ecosse afin d'étudier les techniques de distillation et de fabrication en 1918. Son apprentissage se fit dans le cercle très intime des maîtres écossais dont il gagna la confiance et l'amitié après de longues années de labeur. Marié à Jessica Roberta Cowan, jeune fille rencontrée lors de son exil, ils partagèrent ensemble le rêve de créer le premier whisky totalement japonais et ouvrirent leur distillerie en 1934, dans cette petite ville hokkaidoise de Yoichi qui réunissait les qualités essentielles à la fabrication d'un tel produit: brume, air limpide et eau d'une grande pureté.

Tout simplement le meilleur pure malt au monde pour Whisky Magazine ! Rond et gourmand, cet assemblage de single malts ravira tous les amateurs, du novice à l'expert. Un véritable concentré de plaisir.

It is not really in the interests of Japan's big two distillers to tell you too much about it but Japanese whisky had a prehistory. If you listen to the official versions from Nikka or Suntory, Japanese whisky started with a bang in 1919 or 1924. They have slightly different versions of the creation myth, emphasising the role of either Masataka Taketsuru or Shinjiro Torii in bringing the gospel of authentic whisky from Scotland, but basically they agree: quite suddenly, out of the blue, Japan started making proper Scotch style whisky.

In 1918, Masataka Taketsuru embarked alone on a long voyage to Scotland. In this distant land the secrets of whisky-making would be imparted to this young Japanese man, and here he would meet the woman who would become his bride. Masataka Taketsuru was born in the coastal town of Takehara (now Takehara City) about 60km from Hiroshima City. The Taketsuru family owned a "sake"(Japanese brew made form fermented rice) brewery that goes back to 1733-- and continues to produce fine sake today, in 2004. Taught early that sake making is a painstaking fine art, Masataka studied diligently and trained at university as a chemist, preparing to carry on the family trade.

Masataka Taketsuru (竹鶴 政孝, Taketsuru Masataka?, 1894–1979) founded Japan's whisky industry. He was born in 1894 in Takehara, Hiroshima to a family that had owned a sake brewery since 1733.

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