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PUBLIC MARKS with tag études

2023

Concilier études à l’international et foi musulmane

by rubenxela
Être étudiant musulman à l’étranger peut être une expérience très enrichissante sur le plan personnel et spirituel. Partir étudier à l'étranger est une aventure enrichissante et formatrice, et pour les étudiants musulmans, elle représente également une opportunité unique de se plonger dans de nouvelles cultures tout en restant fidèles à leurs traditions. Ces jeunes ambassadeurs de leur foi et de leur culture naviguent dans un environnement globalisé avec détermination et adaptabilité. Les étudiants musulmans à l'étranger font face à des défis uniques, tels que trouver des espaces de prière et des options alimentaires halal, tout en s'adaptant à des systèmes éducatifs et des cadres sociaux différents. Ils apprennent à concilier leur identité religieuse avec les exigences académiques et la vie étudiante, souvent en bâtissant des ponts de compréhension et en enrichissant le tissu multiculturel de leurs universités.La solidarité au sein de la communauté musulmane est un pilier pour ces étudiants, qui trouvent souvent du réconfort et du soutien dans les associations étudiantes islamiques. Ces associations jouent un rôle crucial en organisant des événements, des rencontres et des activités qui préservent le lien avec leurs racines et leurs pratiques religieuses. En s'engageant dans le dialogue interculturel, les étudiants musulmans à l'étranger contribuent à une meilleure compréhension de l'islam. Ils démontrent l'importance de la diversité et du respect mutuel dans un monde de plus en plus connecté, tout en poursuivant leurs aspirations éducatives et professionnelles.L'éducation à l'étranger offre à ces étudiants une plateforme pour exceller académiquement et professionnellement, leur permettant de devenir des leaders éclairés dans leurs communautés et au-delà. Ils incarnent l'harmonie entre la fidélité à leurs convictions et l'ouverture sur le monde, prouvant que la foi et l'éducation sont des vecteurs universels de progrès et d'entente. En somme, les étudiants musulmans à l'étranger illustrent la richesse de la diversité et le potentiel de l'éducation transfrontalière. Ils renforcent les liens entre les peuples et les cultures, jouant un rôle essentiel dans la construction d'un avenir inclusif et tolérant.

Choisir son métier

by rubenxela
Cet article guide les étudiants à travers le processus de choix de leur métier. Il commence par l'importance de la connaissance de soi, en s'intéressant à ses propres passions, compétences, valeurs et style de vie idéal. Puis, il suggère d'explorer différentes options de carrière à travers des recherches, des discussions avec des professionnels et des expériences pratiques. Enfin, l'article encourage à construire un projet d'orientation, en définissant des objectifs clairs, en planifiant les étapes à suivre et en restant patient et persévérant. L'article conclut en rappelant que choisir son métier est une aventure d'auto-découverte et d'exploration du monde.

2021

Informations jeunes

by rubenxela
Attention, l’université ne ressemble pas au lycée ! Les horaires sont allégés, les enseignants moins accessibles et l’emploi du temps alterne cours magistraux en amphi et travaux dirigés. À vous de travailler vos cours régulièrement, de réviser vos fiches et de préparer vos exposés pour réussir les partiels de janvier et de juin ! Devenir autonome est essentiel, car si la sélection n’existe pas à l’entrée en licence, c’est en cours de cursus que les étudiants sont « écrémés » : seuls 47 % des nouveaux entrants en 1re année passent en 2e année. Alors, anticipez votre projet professionnel et apprenez à travailler seul !

2020

2015

2014

2012

2011

Athenaeum

by Kazkoo
Ecole d'architecture et design à Lausanne

formation courte à l'humanitaire

by toki
l'organisme FORCE Humanitaire dispense des formations courtes à l'humanitaire

management humanitaire

by toki
formation à l'humanitaire niveau BAC + 3 à Montpellier : avec stage de terrain en Afrique !

se former aux métiers humanitaires

by tyteu & 1 other
un organisme de formation propose un diplôme BAC + 3 dans le "management humanitaire". Avec stage de terrain en Afrique . Très bon !

Carmen BERNAND

by thiteu
anthropologue spécialiste de culture andine et latino américaine

2010

«Comment j’ai été instrumentalisé par Julien Dray» | le Blog d'Emmanuel Davidenkoff

by alphoenix
C’était il y a 20 ans jour pour jour : un vaste mouvement lycéen embrasait l’hexagone. Dans l’ombre, un député PS tirait les ficelles : Julien Dray. Comment ? Voici le récit de Nasser Ramdane-Ferradj, aujourd’hui maire adjoint PS de Noisy-le-Sec. Agé de 18 ans à l’époque, il avait été propulsé à la tête du mouvement en tant que vice président de la FIDL (Fédération indépendante et démocratique lycéenne).

2009

Comprendre comment les Français réagissent à la crise et se projettent dans l’après crise

by tisienpo
Pour comprendre comment les Français réagissent à la crise et se projettent dans l’après crise, TNS Sofres a mis en œuvre une double approche : un sondage sur la crise et ses lendemains et une analyse sémiométrique, méthode qui consiste à appréhender les systèmes de valeurs à travers un corpus de mots. 1500 personnes interrogées, 210 mots testés, et au final 5 profils d’attitudes révélés sur la crise et la sortie de crise. Deux axes de lecture divisent les Français sur la crise et l’après crise Les résultats de l’enquête montrent des Français très partagés, tout aussi bien sur la gravité et la durée de la crise actuelle (31% estiment qu’elle est plus grave que celle de 1929, 27% moins grave et 42% aussi grave) que sur la société française et le monde de l’après-crise. Si une majorité de Français se montre en effet pessimiste – imaginant une société française moins tolérante, plus inquiétante, plus inégalitaire ou encore plus autoritaire –, d’autres demeurent optimistes, espérant des lendemains qui chantent après des temps difficiles et décrivant une société plus respectueuse de l’environnement et plus solidaire. Face à ces opinions fortement clivées, une typologie permet de dessiner les différents profils des Français et de leurs attitudes face à la crise. 5 profils différents des Français face à la crise Les résultats de l’étude ont permis de distinguer 5 groupes d’individus partageant des visions différentes de la crise et de l’après crise, positionnées selon deux axes. Ces axes synthétisent le rapport des Français à la crise, avec en premier lieu (axe horizontal) les perspectives de la sortie de crise, qu’elles soient optimistes ou pessimistes, et un deuxième axe (vertical) sur la nature de la crise : une crise durable et globale versus une crise conjoncturelle et avant tout économique. Les battants : la crise, une occasion d’agir Plutôt épargnés jusqu’ici par la crise, les individus de ce groupe (29% de l’échantillon) ont tendance à minimiser sa gravité et notamment sa durée. Ils envisagent une crise courte qui serait pour eux une occasion de redoubler d’efforts pour améliorer le système existant, sans pour autant le bouleverser. On retrouve dans ce groupe des individus qui disposent des ressources personnelles pour faire face à la crise : les hommes jeunes, diplômés et disposant de hauts revenus se retrouvent plus qu’ailleurs dans ce groupe. L’analyse de « leurs » mots montre des personnalités attachées à des valeurs « authentiques », solides (patrie, prêtre, Dieu, gloire, héros, soldat et élite sont des mots sur notés par les membres de ce groupe). Cet attachement se traduit sur le plan personnel par une soif de réussite et un goût pour le travail (commerce, industrie vitesse et ruse). Les rebâtisseurs : la crise, un obstacle dépassable, voire une étape salvatrice Représentant 13% de l’échantillon le groupe des rebâtisseurs rassemble les Français les plus optimistes sur les perspectives de sortie de crise. Après une crise qu’ils estiment durer longtemps, ils imaginent une France et un monde plus apaisés, plus ouverts et plus sûrs. Plus souvent que la moyenne on rencontre dans ce groupe des femmes, des personnes âgées de plus de 45 ans et des employés. L’étude des mots qu’ils aiment ou n’aiment pas permet de déceler parmi eux des personnalités volontaires et dynamiques (construire, effort, ambition et commerce sur notés), ouverts à autrui (étranger, différent et original) et ayant tendance à mettre à distance les menaces anxiogènes afin de se construire un cadre serein et rassurant (tendresse, féminin, bleu, intime et sublime). Les repliés : la crise, une nouvelle source d’inquiétude Ils constituent 23% de l’échantillon et rassemblent des individus chez qui la crise provoque un repli sur soi. Sans être catastrophistes sur le monde de l’après crise ils ne trouvent pas dans la situation actuelle d’éléments suffisamment solides pour leur permettre de se rassurer et d’envisager un avenir souriant. Constitué plus souvent que la moyenne de jeunes et de cadres, ce groupe fait preuve d’attitudes plutôt pessimistes (rire, humour et rêver sont des mots sous notés) a tendance à rejeter l’ouverture (aventurier, original, étranger, désert et absolu sous notés) et se construit davantage par opposition que sur des convictions (peu de mots de ce groupe sont sur notés par rapport à la moyenne, on observe principalement des mots sous notés). Les réformateurs : la crise, une occasion pour réfléchir Ceux-ci (19% de l’échantillon) anticipent une crise longue et souhaitent, sans y croire véritablement, une réforme du système capitaliste qui serait l’occasion de redéfinir les valeurs des sociétés modernes. Malgré leur perplexité sur les possibilités de réforme, ils restent toutefois optimistes. Les professions intermédiaires et les revenus modestes se retrouvent plus souvent qu’ailleurs à l’intérieur de ce groupe et on discerne à travers leurs mots des personnalités plutôt anticonformistes (patrie, gloire, honneur, loi sont sous notés) qui aspirent à s’éloigner des valeurs traditionnelles (fermeté, rigide, discipline sous notés) pour atteindre des vertus plus apaisantes (fleuve, nager, eau, art, livre, enseigner sont ainsi sur notés). Les sinistrés : la crise, une réelle menace pour eux Rassemblant 16% de l’échantillon, les sinistrés sont des individus qui se disent déjà touchés personnellement par la crise et qui se montrent très pessimistes sur la société française de l’après crise : ils envisagent une société plus autoritaire et plus inégalitaire. Il s’agit plus souvent de personnes ayant des revenus modestes et peu diplômées, les plus vulnérables donc face la crise. Leurs mots révèlent des personnalités humbles faisant preuve d’un rejet de la puissance (gloire, héros, commander, souverain, soldat sous notés) : en quête de sérénité et de réassurance (fleur, tendresse, gratuit, gaîté, douceur, humour, musique, vert, eau, rêver sur notés), ils recherchent par ailleurs un nouvel ancrage dans les valeurs sociales de notions telles que la fidélité, la prudence ou la modération (famille, adorer, fidélité, politesse, économiser et règle sur notés).

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