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March 2007

Sondage: l'influence de la France dans les affaires du monde - Le Blog de Noel Basile

La BBC a sondé une nouvelle fois l'opinion internationale sur le rôle des grandes nations dans la stabilité de la planète. Le Japon et la France, derrière l'Union Européenne, sont jugés le plus favorablement. Les Etats-Unis et l'Iran sont crédités des plus mauvais scores Malgré un léger recul, il n'y a pas de quoi rougir. La France reste dans le peloton de tête des pays dont l'action est généralement appréciée par l'opinion internationale soumise continuellement -mais aussi globalement grâce aux chaînes satellitaires- aux images de guerres, de foyers de tension et autres risques de conflits classiques et nucléaires. C'est ce qui ressort du sondage de la BBC sur l'état du monde qui en est à sa troisième édition depuis 2004. La France, une fois tous les pourcentages passés à la moulinette des sondeurs, arrive juste derrière le Japon pour son "rôle principalement positif" dans la situation du monde et c'est l'entité européenne, malgré l'absence flagrante d'une politique étrangère commune à Bruxelles, qui est donnée championne de la sagesse et de la modération universelle. Le faible repli de la France par rapport à ses précédents résultats serait dû, selon les commentateurs du

February 2007

Chirac, Ségolène, Sarkozy... Les boulettes se ramassent à la pelle - Le Blog de Noel Basile

Comment dit-on gaffe en anglais? «Gaffe». Voila un mot que les anglophones nous ont emprunté ce matin pour orner la une de leurs journaux, de Londres à Washington, avec parfois une petite variante pour qualifier les propos de Jacques Chirac sur l'Iran et son nucléaire qui ne serait pas dangereux: «faux pas». On est fier de ces adoptions à la langue française, un peu moins du spectacle que la classe politique offre en ce moment.

November 2006

Liban: faut-il s'inquiéter pour les troupes françaises déployées sur place? - Le Blog de Noel Basile

L'Elysée, dit-on, s'inquiète pour les casques bleus français stationnés au Liban. Et de fait, l'alerte psychologique est à son maximum depuis que Hassan Nasrallah a posé cette semaine un ultimatum au premier ministre libanais Fouad Siniora d'accepter, avant le 15 novembre, la formation d'un gouvernement d'unité nationale, octroyant de facto une minorité de blocage au Hezbollah, ou de convoquer les électeurs devant les urnes. Faute de quoi, le «héro» qui a tenu tête à Israël pendant la «guerre de juillet» menace de régler son différent avec le gouvernement démocratiquement élu dans la rue. Ce qui semble, à première vue, la tentative d'un chef de guerre de rentabiliser ses faits d'armes de l'été dernier, sur le plan intérieur, poussant son avantage face à un gouvernement désarmé mais respecté par la communauté internationale, cache en réalité des enjeux régionaux qui dépassent le Liban. L'unique sponsor du Hezbollah, l'Iran, et son principal supporter, la Syrie activent la carte du Hezbollah à leur guise dès qu'il s'agit pour chacun de faire face à la pression. Le premier sur le dossier nucléaire, le second concernant l'enquête internationale sur l'assassinat de l'ancien premier ministre Rafic Hariri. C'est dans ce contexte que les troupes françaises de la FINUL tentent de remplir la mission qui leur a été assignée par le Conseil de Sécurité. Un contexte instable... et de plus en plus alarmant.

September 2006

Iran - nucléaire : les opinions publiques interrogées sur l'option de frappes militaires - Le Blog de Noel Basile

Un sondage commandé par un «think tank» américain révèle que les Français n'étaient pas opposés, avant l'envoi de soldats au Liban, à l'idée de rétorsions militaires contre l'Iran