PUBLIC MARKS from noel_basile with tag "Melissa Theuriau"

Sus à la Perfide Albion qui s'en prend à une icône nationale, que dis-je, depuis son idylle avec Jamel Debbouze étalée à la une de Paris-Match, à une bienheureuse comme seule la France sait en produire depuis Jeanne d'Arc, rien que pour déprimer les Anglais. Ne voila-t-il pas qu'un billettiste de l'Observer, jaloux sans doute de la renommée internationale acquise par Mélissa Theuriau grâce à YouTube demande qu'on la brûle sur le bûcher des vanités. Jasper Gerard se moque de la star de M6 parce que sa vidéo multi-diffusée attire un nombre incalculable d'admirateurs américains, plus béats les uns que les autres dans leurs messages laissés sur le site robinet-à-images mais dont aucun, parmi ces adorateurs transis, ne comprend un seul mot de ce qu'elle articule. Ce qui l'énerve en particulier chez Mélissa est qu'elle a avoué accepter bien volontiers les compliments, «à condition que l'on parle également de (mes) compétences professionnelles» (Marie France, jan.07) Que n'a-t-elle pas dit là. Jasper Gerard la traite de pauvre midinette dont le métier consiste à lire un prompteur, prouesse que sa fille Emilia encore à l'école primaire serait capable d'accomplir, et, tout aussi élégant, d'enseigne télé

On ne sait pas s'il faut se réjouir ou s'inquiéter pour elle, mais décrocher la première place d'un concours de femme la plus sexy parmi une brochette de nymphettes au physique attrayant n'est pas le genre d'exploit généralement prisée par une journaliste, en tout cas, et selon toute vraisemblance à moins d'être démenti, en France. Toujours est-il que les lecteurs du très distingué Sun, le tabloïd le plus trivial et le plus trash de la presse britannique, ont massivement porter leurs votes sur Melissa Theuriau, la présentatrice de Zone Interdite sur M6, lors du sondage électronique qui leur a été proposé cette semaine pour élire la "première miss YouTube", du nom du site mondial de partage de vidéos en ligne.