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Je crois que la culture, plus que la politique, est la clée du hacking. Un hacker, s'il ne l'est pas au depart, devient obligatoirement par la suite un humaniste, democrate (je crois que vous appelez cela le socialisme) et au pire un alter mondialiste d'extrème gauche. Les grosses lecture de hacker commence par Issak Azimov (si vous saviez l'ampleur imaginative d'un hacker quand il lit empire et fondation) qui est plus un pro livre-bibliothèque qu'un pro foot-guerre-cul, ensuite les autres lectures sont par exemple Philip K Dick. Pour résumer, le profit intelectuel et affectif passe avant le profit financier répuniant de part son omniprésence.